• En l'occasioin de l'année nouvelle et comme promis par M. Mohamed Laïd ATHMANI à notre Très Cher aîné,M. Maïques Phillippe ainsi qu'à tous nos ami(e)s: ancien de VESCERA:les anciens Biskris et les Biskriates.

    Sans plus tarder, LE VESCERIEN  (celui qui vous aime tous bien) : votre Ami à tous aussi ,commence par placarder toutes les photos de la ville qu'il a faites. Sachant, bien entendu,que les anciens s'impatientent pour voir, hé bien pour ne point décevoir, les explications suivront par la suite.

    Mise en garde,il ne faut guère s' étonner de voir le nouveau cotoyer forcément l'ancien .Il prend même le dessus au niveau de la constructionet au niveau de l'architecture.                                                                                                                                                                                                                          Mais des pans entiers d'histoire demeurent toujours témoins. Le délabrement de certains endroits dénote la non prise en charge par les héritiers ou la commune elle-même.

    L'ancienne mairie est en pleine réfection- vous pourrez le constater - ,et cela grâce à nouvelle impulsion du nouveau Wali de la ville(Préfet)

    Pour ce début,le trajet emprunté est celui du mont"Dhalaâ": Lotissement Ferhat en passant par Rodari,l'EGA,l'ancienne hydraulique,la placette(Maurice LABAN), la gare,le jardin public en descendant vers le centre ville...

    Au plaisir et au sacré devoir de continuer afin de faire un tant soit peu plaisir à tous nos Chers anciens.

     

    * Concernant l'ancienne maison de M. Barkats, elle se situe après Rodari en allant vers le jardin public,elle est mitoyenne à celle de M. Gourari kamel (Notre ancien  ENRICOS MACIAS, car il lui ressemble beaucoup;les Biskris l'avait surnommé ainsi.)

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  •  

    " TRES BONNE ET TRES HEUREUSE ANNEE 2011"


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  • « SOUVENIRS ! SOUVENIRS ! SOUVENIRS ! »

     

    «Un ancien Biskri

    Un véritable Vescérien

    Ne sait jamais dire non

    Quand il peut dire oui ! » -M.L.ATHMANI

     

    M. Mohamed Laïd Athmani,

    Poète et Nouvelliste de Biskra, dont je me veux le représentant en matière d’édition, est un ancien élève de « l’Ecole des allées », tout comme moi, m’a contacté pour mettre des photos de l’ancienne Biskra que M.Philippe Maïques lui avait demandées.                                            

    Hé bien tout sera fait incessamment : anciennes et nouvelles à la fois parce que la ville a tellement changé.

     En l’Honneur et à l’adresse de tous les anciens  M.ATHMANI  ajoute:

    «À tous les anciens Biskris « ou Vescériens » qui gardent toujours cette flamme  de l’enfance enfouie dans leurs cœurs pleureurs, ce site leur est dédié au nom du VESCERIEN qui les aime tous bien.  

    À M. Philippe Maïques leur aîné et aussi le principal repère et relais qui a su, hier comme aujourd’hui, rallier tous ces (ses) camarades d’enfance, tous ces (ses) ami(e) s qui ont tous appartenu à « L’ÉCOLE DES ALLÉES » de Biskra à laquelle nous avons appartenu.

     N’oublions pas notre très Chère Leïla Legmar, cette battante, qui a fait des mains et des pieds pour réunir tous ces (ses) anciens ami(e) s aussi.

     En ces jours de fêtes de fin d’année, de tout mon cœur je souhaite à tous :    

                                  « UNE   BONNE ET HEUREUSE ANNÉE  2011! »                                                           

    et je leur dis :          

                                               « Soyez les bienvenus chez vous ».

     Que chacun de vous prenne le temps de se rappeler et de noter en commentaire : un mot ,une anecdote ou un souvenir de sa chère ville Biskra qu’il voudrait bien communiquer aux Biskris qu’ils pourront à leur tour communiquer afin que cela demeure toujours vivant dans la mémoire des générations.

                                            =================

    Pour donner le départ,  Mohamed Laïd ATHMANI, vous dit:

    " Rappelez-vous donc les fêtes au jardin public de Biskra, et le carnaval, et la fantasia,et ces courses hippiques,et la troupe de MERZOUG, et le village Nègre,et la statut du Cardinal Lavigerie, et M. Edmond Cazenave (et son fils : Jean Cazenave), maire de la ville qui fait son discours, et Hubert Cataldo, et ces manifestations qui ont marqué l’attribution du « Prix des 4 jury » dont il parle,l’hôtel Royal,et le café glacier,et l’hôtel Transatlantique,et le terrain de tennis,et l’hôtel oasis, et l’hôtel Palace,et le marché couvert,et toutes ces roses du matin,et tous ces noms de famille qui vous interpellent tous,parce que vous les connaissez comme nous les connaissons,parce que vous les aimez comme nous les aimons aussi :

    Les Marginédès, les Guedj, les Crespin, les Tourenq, les Laurent, les Rodari, les Dufourg, les  Carbuccia, les Merloz, les Matheux, les Defraud, les Quentin, les Passaret, les Jauberti, les Pizzafferi, les Cataldo, les Lozée, les Guedj, les Guerbet, les Mattéoli, les Dessolin, les Cilluffo, les Maïqués, les Peyret, les Dragacci, les Mselatti, les Bênoit, les Amar ( où es-TU Paulette ? ), les LE Clézio,les Barkats,les Barry,les Pérès, les FLOQUET( pour faire un clin d'oeil à Michel Floquet-le Biskri- son père était notre Instit.. à l'école des Allées,et lui-même son propre élève )......... 

    Les Gherbi, les Fhal, les Hazan, les Touitou, les Ayoun ,les Khalfa, les Baldacchino, les Doglione, les Beda, les Cazenave, les Maures, les Lambrosi , les Eds, les Fontana, les Rossi, , les Manuelli, les Botard, les Puig,les Marcaihlou , les Monnet,les Carré, les Tourenq, les Tamburini,les Peyret,les Gourgout,les Meyer,les Prévost,les Manuelli, .............

    À chaque rappel et occasion de fête qui sont cités, à chaque nom qui est rappelé,à chaque circonstance qui est signalée ,toute une ambiance,toute une odeur de temps et de sourires,et de gentillesse, d’amabilité et de fraternité sont à fleur de peau, à fleur de sens ,et de sensation,et de palpitations de cœur aussi.

    L’être sensible se trouve fort submergé par tant d’amour, de bonheur, de temps que l’on regrette et que l’on n’oubliera jamais.                                                                                                

    Ô Mes  Très Chers, ô mes véritables Ami(e) s !                                                                     

    Je n’ai guère oublié toutes ces odeurs : celle du mimosa de chez nous, celle du jardin public et du jardin London aussi !                                                                                                     

    Cette odeur du pollen des palmiers, celle des murs en « toube » du vieux Biskra, du M'cid, de Sidi Barkat et de Gueddacha qui viennent s’infiltrer dans mon nez, qui viennent me submerger ; ces odeurs de dattes encore vertes, celles du jasmin, des citronniers et orangers en fleurs et toutes ces autres odeurs que je ne pourrai jamais oublier................"

     

    Mohamed Laïd ATHMANI

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    * Je vous prie de bien vouloir ajouter tout ce que vous voulez bien ajouter.

                    De la part d’un être aimant qui n’a rien oublié.

     

     

     

     

     


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  • Le Mot de l'éditeur : «  Ô Biskra, une enfance algérienne »

    Le petit Pierre a vécu l’Algérie française et la décolonisation. Très jeune, il a entendu De Gaulle s’exprimer sur l’Algérie, peuplée de « Français à part entière et dotés des mêmes droits et des mêmes devoirs ».
    Le petit Pierre raconte son enfance en Algérie, se souvient de la ville où il a grandi, Biskra, un lieu d’une beauté ensorcelante. Cette histoire bouleversante, empreinte de nostalgie et de traumatismes de guerre, n’est autre que l’histoire de Pierre-Philippe Barkats, l’auteur.

    Tous deux enfants de Biskra, amis et exilés, l’auteur et Jean-Marie Le Clézio discutent :
    – Et toi, dit J.M.G. Le Clézio, tu retournerais à Biskra ?
    – Non
    – Tu devrais écrire sur Biskra, Pierre. La guerre d’Algérie n’a pas fini de nous troubler.

    Inspiré par l’œuvre de son ami Le Clézio, ce texte pose la question de l’exil et de l’identité. Pierre-Philippe Barkats décide de retranscrire les images qui l’obsèdent depuis 50 ans. Il remonte le temps, les souvenirs refont surface : la guerre d’Algérie, les dattiers qu’il a plantés avec son frère, le henné des femmes, les visites chez les grands-parents, le cinéma, les habitants de Biskra…
    Il revisite en pensée cette ville où il a vu le jour, retourne sur sa terre natale, l’Algérie de son enfance.

    Ce témoignage très documenté, parsemé de photographies personnelles, sur fond de guerre d’Algérie, nous parle de vies perdues au fond du Sahara, de déracinement et d’amour.
    À la manière d’Un sac de billes de Joseph Joffo, ce texte montre la dureté de la guerre vue par un enfant. Avec une tension narrative extraordinaire, ce récit jalonné de souvenirs, aborde les souffrances d’un peuple immigré, meurtri par la guerre d’Algérie, arraché à son milieu d’origine. La voix du petit Pierre rejoint celle de tous les déracinés rongés encore aujourd’hui par ce conflit.

    Livre disponible auprès de la fnac    

    http://recherche.fnac.com/ia847562/Pierre-Philippe-Barkats.

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    Ce qu'il faut savoir aussi c'est que Pierre -Philippe-Barkats habitait la rue Laurent, il était le voisin de l'un de nos amis " ancien Biskri ": Philippe Maïques.

    La rue Laurent donne sur le Boulevard Carnot.De la maison de Barkats, on voit les ateliers de Rodari ainsi que le local de Jean  Mattei-- Rappelez-vous l'élicoptère!

    Enfin, si jamais BARKATS passe par-là, nous le prions de faire signe et de nous rappeler où habitait J.M.G Le Clézio en ce temps-là.                                                                                                 ( Nous pensons que c'est du côté du casino: cinéma AYOUNE.)                                                     Si un autre Biskri peut nous préciser, c'est aussi tant mieux.C'est une information d'importance, car un livre est en cours et ces deux grands personnages y sont cités.

    LE VESCERIEN 

     

     




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  • Les jeunes de la Cité BELAYAT n'ont pas été chiches de bonne initiative en cette immémorable

    occasion.

     

     

     

    D'autres réalisations de la jeunesse de BENI Morah.

     

     

    La jeunesse de la Cité ou HAÏ  DERNOUNI a aussi fait preuve de bonne créativité à l'image des autres jeunes.

     

    La jeunesse du quartier Chateignier (Cité des 90 logements)qui se trouve du côté du fameux JARDIN LONDON de Biskra

    n'avait pas elle aussi manqué de bonnes initiatives .Elle aussi a fait preuve d'une certaine cohésion en la circonstance.

     

    ( Au dessus de FLEXY, à la verticale,à l'extrémité d'une barre de fer,de couleur marron, la coupe d'Afrique atteint la limite de l'n des premiers  bâtiments de Biskra.  )

    La jeunesse du HAÏ de la Cité Universitaire de Biskra,elle aussi était au rendez-vous.

    Tout le monde est de la fête, même les kiosques improvisés par les jeunes en mal de travail.

    Le kiosque du coin.

    L'Equipe Nationale Algérienne s'en va-t-en guerre contre l'Equipe d'Egypte dans un match qui tourne au drame; ( qui ne le sait pas ou qui ne l'a pas su ?)


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