• EDITION / ROMAN

    Le Mot de l'éditeur : «  Ô Biskra, une enfance algérienne »

    Le petit Pierre a vécu l’Algérie française et la décolonisation. Très jeune, il a entendu De Gaulle s’exprimer sur l’Algérie, peuplée de « Français à part entière et dotés des mêmes droits et des mêmes devoirs ».
    Le petit Pierre raconte son enfance en Algérie, se souvient de la ville où il a grandi, Biskra, un lieu d’une beauté ensorcelante. Cette histoire bouleversante, empreinte de nostalgie et de traumatismes de guerre, n’est autre que l’histoire de Pierre-Philippe Barkats, l’auteur.

    Tous deux enfants de Biskra, amis et exilés, l’auteur et Jean-Marie Le Clézio discutent :
    – Et toi, dit J.M.G. Le Clézio, tu retournerais à Biskra ?
    – Non
    – Tu devrais écrire sur Biskra, Pierre. La guerre d’Algérie n’a pas fini de nous troubler.

    Inspiré par l’œuvre de son ami Le Clézio, ce texte pose la question de l’exil et de l’identité. Pierre-Philippe Barkats décide de retranscrire les images qui l’obsèdent depuis 50 ans. Il remonte le temps, les souvenirs refont surface : la guerre d’Algérie, les dattiers qu’il a plantés avec son frère, le henné des femmes, les visites chez les grands-parents, le cinéma, les habitants de Biskra…
    Il revisite en pensée cette ville où il a vu le jour, retourne sur sa terre natale, l’Algérie de son enfance.

    Ce témoignage très documenté, parsemé de photographies personnelles, sur fond de guerre d’Algérie, nous parle de vies perdues au fond du Sahara, de déracinement et d’amour.
    À la manière d’Un sac de billes de Joseph Joffo, ce texte montre la dureté de la guerre vue par un enfant. Avec une tension narrative extraordinaire, ce récit jalonné de souvenirs, aborde les souffrances d’un peuple immigré, meurtri par la guerre d’Algérie, arraché à son milieu d’origine. La voix du petit Pierre rejoint celle de tous les déracinés rongés encore aujourd’hui par ce conflit.

    Livre disponible auprès de la fnac    

    http://recherche.fnac.com/ia847562/Pierre-Philippe-Barkats.

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    Ce qu'il faut savoir aussi c'est que Pierre -Philippe-Barkats habitait la rue Laurent, il était le voisin de l'un de nos amis " ancien Biskri ": Philippe Maïques.

    La rue Laurent donne sur le Boulevard Carnot.De la maison de Barkats, on voit les ateliers de Rodari ainsi que le local de Jean  Mattei-- Rappelez-vous l'élicoptère!

    Enfin, si jamais BARKATS passe par-là, nous le prions de faire signe et de nous rappeler où habitait J.M.G Le Clézio en ce temps-là.                                                                                                 ( Nous pensons que c'est du côté du casino: cinéma AYOUNE.)                                                     Si un autre Biskri peut nous préciser, c'est aussi tant mieux.C'est une information d'importance, car un livre est en cours et ces deux grands personnages y sont cités.

    LE VESCERIEN 

     

     




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